(English adapted version below)
Comme je m’étais couché assez tôt, vers 22h, je me suis réveillé tout naturellement vers six heures. J’ai profité pour consulter mes courriels, clôturer proprement ma session, imprimer les adresses de mon agenda et mes codes de manière encryptée, juste en cas de …
Comme mon sac de voyage ne dépasse pas les 11 kilos j’ai transféré quelques affaires de mon sac à dos.
Nous avons pris un petit déjeuner comme tous les dimanches, tous ensemble. Les enfants sont tiraillés, d’un côté ils sont contents d’être une semaine sans « sergents », de l’autre côté ils sont tristes de ne pas nous voir.
Vers dix heures Krystyna nous a conduits à la gare. Nous sommes arrivés à Bruxelles-midi avec une bonne demi-heure d’avance.
Dans le TGV il fait chaud. Je me demande déjà comment ce sera dans le désert. Je dois commencer à me préparer psychologiquement et apprendre à intérioriser la sensation de chaleur. J’arrive à le faire assez aisément avec le froid. Pour la chaleur le problème est la transpiration.
Dans le train, nos places ne sont pas les meilleures. Arrivés à Lille nous avons changé pour les places centrales tout en espérant qu’elles ne soient pas réservées, au pire nous retournerons aux nôtres.
Pas de chance, celle qu’Evelyne avait prise est bien réservée. Elle s’est mise donc à côte de moi.
Arrivés au terminal 2 de CDG nous devons prendre la navette vers le T3, où se trouve le point de rencontre. Comme nous avons de l’avance nous prenons le temps de nous rafraîchir.
Après le passage au comptoir de Terre d’Aventures nous allons consigner nos bagages. Dans la file d’attente nous faisons connaissance avec nos compagnons de randonnée. L’agent du comptoir nous a présentés.
Il s’agit de deux couples et un personne seule, une dame. Des gens de Bretagne, Normandie et Paris : Lionel et Isabelle, Frédéric et Babeth (Elisabeth) qui se connaissent déjà et Françoise. L’âge est similaire au notre à quelque lustre près.
Apparemment nous serons sept ce qui n’est pas pour me déplaire.
A notre arrivée à Djerba nous sommes accueillis par l’agent de TA qui nous présente notre chauffeur.
Nous apprenons aussi qu’une autre personne est déjà sur place. Elle est partie depuis Toulouse. Il s’agit encore d’une dame. Nous serons donc huit en tout.
Le trajet jusqu’à l’hôtel se fait dans un tout terrain. Les bagages ont été attachés sur le toit et nous nous sommes entassés à l’intérieur : l’espèce féminine sur les sièges, nous sur les banquettes à l’arrière. Il y a plein de flaques sur les rues, mais d’énormes flaques. Il paraît qu’il a plut pendant quelques jours sans arrêt. La probabilité voudrait qu’il ne pleuve pas pendant cette semaine.

Le chauffeur nous conduit à un restaurant et dit qu’il nous attendra. Nous terminons vers minuit.
Demain nous quittons l’hôtel vers sept heures. Avant de me coucher je trie les affaires et les repartis dans les différents sacs.
We have had breakfast like all Sundays, all together. Children are quite upset, on one side they are happy to be a week without "sergeants", and on the other side they are sad not to see us.
About ten, Krystyna has driven us to the railway station. It is more than warm in the TGV. I already wonder how it will be in the desert. I need to prepare myself psychologically and learn to interiorise the heat feeling. I manage to do so rather easily with cold. For heat the problem is the sweating.
In Paris the travel agent has introduced the other participants to us. There are two couples and a single person, a lady.
All of them French : Lionel and Isabelle, Frédéric and Babeth (Elisabeth) They already knows themselves and Françoise. Their age is quite similar to ours. Apparently we will be seven which suits me wery well.
On our arrival to Djerba we are welcomed by the local agent who introduces to all of us our driver.
We also learn that another person is already on the spot. It left from Toulouse. We will be therefore eight in all.
At the hotel, we are introduced to the eighth person: Andrée from Castres (France too), she is seventy years old.
We have had breakfast like all Sundays, all together. Children are quite upset, on one side they are happy to be a week without "sergeants", and on the other side they are sad not to see us.
About ten, Krystyna has driven us to the railway station. It is more than warm in the TGV. I already wonder how it will be in the desert. I need to prepare myself psychologically and learn to interiorise the heat feeling. I manage to do so rather easily with cold. For heat the problem is the sweating.
In Paris the travel agent has introduced the other participants to us. There are two couples and a single person, a lady.
All of them French : Lionel and Isabelle, Frédéric and Babeth (Elisabeth) They already knows themselves and Françoise. Their age is quite similar to ours. Apparently we will be seven which suits me wery well.
On our arrival to Djerba we are welcomed by the local agent who introduces to all of us our driver.
We also learn that another person is already on the spot. It left from Toulouse. We will be therefore eight in all.
At the hotel, we are introduced to the eighth person: Andrée from Castres (France too), she is seventy years old.
2 comments:
Salut Antonio
Sympa tes écrits. Juste une précision: Babeth est le diminutif d'Elizabeth.
En France en tout cas... :-))))
Fred ET Babeth
Noté pour l'avenir. En fait j'écrivais la phonétique à la française.
Antonio
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